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Ecrins 2017

  • sensasyonraid
  • 26 juil. 2017
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 12 nov. 2020

Les 26 et 27 Juillet 2017, le doyen de Sensas’ Yon prend de la hauteur !!! Direction les Alpes et les montagnes des Ecrins

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A l’aube (10 h) du mercredi 26 juillet, nous voilà partis pour le massif de la Grande ruine à 3769 m.

Départ du parking du Pont d’Arsine à 1 669 m pour 6 h de montée au refuge Adèle Planchard, soit 1 400 m de dénivelé à faire dans la journée. On n’aura pas trop le temps d’observer les marmottes et les édelweiss.

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Pause à 13h, aux sources de la Romanche à 2 187 m, du saucisson, un fromage de la Drôme et c’est parti pour l’après-midi, la vraie montée (850 m) dans les cailloux commence, avec quelques passages sécurisés en cordes.

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A 17h, le refuge, à 3 053, est enfin en vue pour un repas (soupe et un bout de fricot)  et une courte nuit.

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Levés à 4h30, pour un départ à 5h, direction le glacier supérieur des agneaux avec le guide. Après 45 minutes de marche, il faut chausser les crampons.

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Le glacier très pentu ne nous permet pas d’avoir un rythme soutenu malgré notre condition physique irréprochable…… . Le sommet de la Grande Ruine étant trop loin, direction la Brèche Giraud Lezin (3 668 m) mais à 50 mètres de la brèche la grande crevasse, devient un obstacle infranchissable pour les alpinistes aguerris que nous sommes.

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8h30, il est temps de commencer à descendre du glacier.

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Retour à 11 h au refuge, les 3 h de marche sur le glacier, nous ont donné faim. L’assiette de charcuterie et la bière sont les bienvenues.

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 La descente, en 6 h, jusqu’au parking se passera bien et tranquillement.

En 2 jours, 2 000 m de dénivelé positif, largement suffisant à 70 ans.

Voici la version officielle, pour des compléments d’informations, s’adresser à Alain (Pourquoi, il a fini la montée avec 2 sacs sur le dos, etc).

Marcel et Alain Texier

 
 
 

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